La créature qui imite les cris de bébés la nuit d’Halloween.
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Le thème que j’ai choisi sur la légende est la créature qui imite les cris de bébés la nuit d’Halloween.
À l’approche d’Halloween, nights sont marquées par une atmosphère mystique, où la fête des morts semble côtoyer le monde des vivants. Dans un petit village, blotti au cœur d’une forêt dense, une légende locale, à faire frémir, ressurgit : celle de la créature qui imite les cris de bébés et dont l’écho résonne dans les nuits sombres de cette période.
Les villageois, particulièrement les anciens, connaissent bien l’histoire de cette entité maléfique. Ils relatent que, chaque nuit d’Halloween, des pleurs perçants retentissent au milieu des arbres, trompant les oreilles des malheureux qui y prêtent attention. Cette créature, décrite tantôt comme un mélange entre un animal sauvage et un revenant spectral, possède une particularité effrayante : elle reproduit avec une précision déconcertante les cris d’un nourrisson en détresse.
La légende stipule que cette créature serait l’esprit d’un enfant perdu, airant éternellement dans les bois, condamné à pleurer jusqu’à ce qu’il soit retrouvé. Les cris angoissants émis par cet être, bien que résonnants de manière poignante, proviennent souvent d’endroits reculés, loin des maisons du village, ce qui accroît la peur et l’angoisse des parents.
C’est une nuit d’Halloween, où les décorations éparpillées dans le village créent une ambiance à la fois festive et troublante, que cette légende prend vie. Les enfants déguisés, pleins de joie et d’excitation, arpentent les ruelles à la recherche de friandises, mais les anciens, eux, se murent dans le silence et repensent aux avertissements sur la créature.
Les récits des anciens sur cette créature sont empreints de mystère et de respect. Ils affirment qu’ignorer les cris désespérés est la seule manière d’échapper au danger. Les familles évitent de se balader dans la forêt cette nuit-là, sachant que répondre à l’appel pourrait avoir des conséquences fatales. Leurs histoires, bien que servies avec un mélange de mystère et de menace, sont également teintées d’une certaine tristesse. L’enfant perdu, l’esprit tourmenté, suscite l’empathie et la compassion.
Au fil des années, peu d’habitants ont osé s’aventurer dans la forêt lorsque les cris s’élèvent, préférant préserver leur sécurité plutôt que d’assouvir leur curiosité. La créature est devenue bien plus qu’un simple récit folklorique ; elle est désormais ancrée dans l’identité même du village, symbolisant à la fois la peur et le deuil.
Un soir, un groupe de jeunes amis, animés par un mélange d’intrigue et de bravoure, décident de défier cette légende. Leur curiosité les poussent à vouloir comprendre ce qui se cache derrière ces cris terrifiants. Ils se retrouvent chez l’un d’eux, partageant des histoires autour d’un feu de camp, interrompus par des rires et des blagues. Puis, une idée germe : explorer la forêt la nuit d’Halloween.
Armés de lampes de poche et de leur bravoure juvénile, ils s’enfoncent dans les bois. Au départ, la nervosité se glisse parmi eux, mais l’excitation prend rapidement le pas sur la peur. Au fur et à mesure qu’ils avancent, ils commencent à douter de la véracité des histoires. Après tout, peut-être que la créature n’est rien de plus qu’un mythe ?
Cependant, alors que les heures passent, une atmosphère sombre s’installe. Les bruits de la forêt deviennent plus palpables, les ombres plus longues. Soudain, un cri perçant fend l’obscurité, semblant surgir de nulle part. La terreur s’empare du groupe alors qu’ils se figent, un frisson parcourant leurs épis.
Au fur et à mesure qu’ils avancent vers l’origine du cri, un sentiment contradictoire s’empare d’eux. Thomas, l’un des amis, ressent un lien inexplicable avec les pleurs. Ils lui rappellent la douleur qu’il a vécue à la suite de la perte de son jeune cousin. Cette connexion émotionnelle le pousse à vouloir suivre les pleurs. Ses amis, perplexes et inquiets, tentent de le tirer en arrière, redoutant ce qu’ils pourraient découvrir.
La tension monte. Les cris, entrelacés de rires et de pleurs, continuent d’attirer Thomas alors que ses camarades l’implorent de faire demi-tour. Au fond de la forêt, le son semble résonner comme un appel désespéré, une mélodie empreinte de tristesse. L’idée de rencontrer une âme perdue l’envoûte.
Le groupe s’enfonce encore plus profondément dans la forêt, ignorant les mises en garde de ceux qui les ont précédés. À mesure qu’ils avancent, l’atmosphère devient irrespirable. Les cris à l’unisson semblent se moquer d’eux, puis ils finissent par se fondre dans un écho mélancolique, plongeant chacun des amis dans une réflexion douloureuse sur leur propre passé.
Dans un ultime moment de doute, ils se retrouvent face à une clairière éclairée par la lune, mais ce n’est que le silence qui les attend. Les cris ont disparu. Personne ne sait ce qu’il adviendra de Thomas. Le groupe fait demi-tour, persuadé que la légende, bien plus que de simples histoires, est une mise en garde contre les mystères de la nuit et les profondeurs de la douleur humaine.
Alors que le groupe quitte la forêt, le silence pèse lourdement, et ils se rendent compte qu’ils ont éveillé quelque chose qui reste inexprimable. La légende de la créature, les pleurs de l’enfant perdu, continuera de hanter leur mémoire. Pour eux, Halloween ne serait plus jamais un simple événement festif, mais une nuit où les souvenirs, la peur et la compassion se mêlent dans une danse mortelle. La créature des cris de bébés demeure, attendant la prochaine nuit d’Halloween et le prochain groupe téméraire qui osera s’aventurer dans l’obscurité.
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