1976 Iles Canaries

Iles Canaries Source google

C’est dans la nuit du 22 juin 1976, qu’une corvette aurait aperçu un étrange objet.

Peut-être que vous connaissez déjà cette histoire, surtout pour ceux qui aiment l’ufologie, pour les autres, voici ce qui c’est passé cette nuit-là.

Les îles Canaries forment un archipel situé dans l’océan Atlantique au large des côtes du Maroc faisant partie de la Macaronésie regroupant les territoires insulaires volcaniques, avec Madère, des Açores appartenant au Portugal et du Cap-Vert situés à l’ouest et proches des côtes nord-africaines.

C’est dans la nuit du 22 juin 1976 que des centaines de témoins et des militaires observeront, des phénomènes lumineux étranges au-dessus de Tenerife, la Palma et La Gomera.

Vers 21 h 27, un équipage de corvette de la Marine Royal espagnole, décriera une observation de lumière jaunâtre et bleuâtre intense se déplacer au large du rivage, jusqu’au moment où la lumière s’éteint et sera remplacée par un faisceau lumineux commençant à tournoyer, durant deux minutes, avant que la lumière se rallume et que son halo jaunâtre et bleuâtre grossir considérablement, ce phénomène restera visible durant 40 minutes.

Cette même nuit, un autre phénomène mystérieux fut observés, mais plus controversés, celle d’une rencontre rapprochée du 3ème type.

C’est un médecin, Francisco Padron Leon, ainsi que le chauffeur de taxi dans lequel il se trouvait, pour se rendre cher une patiente qu’ils virent une sphère transparente et cristallin d’une trentaine de mètres, brillant d’une lumière jaunâtre et bleuâtre, dans laquelle ils aperçurent deux être de deux mètres cinquante habillés de rouge et d’un casque, ensuite cette sphère s’éleva dans le ciel pour disparaître avec une grande vitesse.

Arrivée chez la patiente, elle leur dira avoir vu une lumière jaunâtre et bleuâtre et qu’au même moment, sa télévision s’était éteinte et ses chiens se mirent à hurler.

Une enquête fut menée trois jours plus tard, pour analyser toutes les possibilités.

Comme, si c’était un avion, un missile, une aurore boréale, d’une chute de météore ou d’un ballon météo.

Mais le rapport de conclusion ne donnera rien, sauf la possibilité qu’un engin d’origine inconnue, propulsé par une énergie inconnue, dans la nuit du 22 juin 1976.

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