Orfèvrerie du diable
Orfèvrerie du diable Source google
Aujourd’hui, je vais vous parlez de légende urbaine.
Le thème que j’ai choisi sur la légende est l’orfèvrerie du diable.
Qui dans le monde ne connaît pas Paris capital de la France ou s’élève la sublime cathédrale Notre-Dame de Paris qui est l’un des monuments les plus emblématiques de Paris, situés sur l’île de la Cité et le siège de l’archidiocèse de Paris dédiée à la Vierge Marie.
Malheureusement, le 15 avril 2019, la totalité de la toiture couvrant la nef, le chœur et le transept sera détruit par un incendie violent, laissant ainsi une tristesse profonde dans le cœur des Parisiens.
Cependant, la ville de Paris regorge également de légende comme celle de l’orfèvrerie du diable.
Bien que ces portes soient une énigme par la construction de leurs ferronneries, une légende voit le jour au début du 14 ème siècle.
En effet, un jeune forgeron du nom de Biscornet, accepte de réaliser de façonner les ferronneries des portes latérales de la cathédrale de Notre-Dame avant son inauguration.
Les jours passèrent et le travail avançait lentement, très vite Biscornet réalise vite que se sera difficile pour lui d’accomplir seul cette tâche, mais une nuit devant sa forge, il hurle avec désespoir et demande au diable de lui donner un coup de main.
Sauf, que le diable surgi et lui propose son service en échange d’un pacte, qui sera de lui donner son âme contre les ferrures.
La veille du jour de la livraison Biscornet tomba malade et à son réveil, les chanoines de Notre-Dame admirèrent et s’extasièrent sur ces extraordinaires ferronneries dont le jeune serrurier n’était pas l’auteur, mais celui rempli par Satan qui avait accompli sa part du marché.
On raconte que Biscornet mourut peu de temps après et qu’il fut enterré au cimetière des innocents, qu’aujourd’hui on pourrait voir le soir son fantôme faisant de fréquentes apparitions psalmodiant d’étranges et obscures invocations sataniques.
Alors, si un jour vous vous baladez le soir dans le quartier, ne vous étonnez pas de croiser un serrurier venu d’un autre temps, qui recherche à sauver son âme.
Mais saviez-vous qu’à l’origine de ces portes, était réservée aux cortèges religieux et au Saint-Sacrement, qu’il ne possédait pas de décoration. Que ce serait pour cela que l’on nommera les portes du diable pour repousser le malin, car il paraît que toute tentative de fixation de ferrures est impossible.
Que ce n’est qu’au 19 éme siècle que le charme serait rompu avec l’intervention du ferronnier Pierre Boulanger en 1867 qui signera de son nom au dos des panneaux, pour prouver qu’il s’agit bien de l’œuvre d’un homme et non celui du diable.
De nos jours, seule la porte latérale de gauche qui donne sur le parvis conserve les ferronneries d’origine, les autres ont été remplacées.
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